7 juil. 2011

1ère restauration, le début d'une addiction!



Un petit peu comme Obélix dans la marmite de potion magique, je suis tombée sur une poupée d'enfance par hazard dans un vide-grenier... Elle était dans un piteux état, ses cheveux étaient tout crépus, son visage et ses doigts barbouillés de feutre noir, et ses yeux étaient devenus opaques avec les bains répétés et les années... Il s'agissait d'une Tinnie de Raynal, ma poupée préférée quand j'étais petite fille. Une foule de souvenirs tendres m'est revenue rien qu'à la voir, je l'ai donc achetée pour 1 €uro symbolique et suis revenue à la maison avec la ferme intention de "lui redonner la vie".

Internet (surtout Youtube et les blogs des autres collectionneuses) m'ont apporté une mine d'infos pour la restaurer... Et ça a marché au delà de mes espérances.   Je suis passée à d'autres poupées plus complexes à restaurer et il m'a fallu me rendre à l'évidence: pour restaurer des poupées, il faut se constituer un guide de base sur le nettoyage des différents matériaux (nettoyer sans abîmer) qui constituent les poupées, avoir un bon coup de crayon (redessiner des traits...) et maîtriser les bases de la couture (un gros chantier pour moi, qui n'en avais jamais fait...).

J'apprends encore et toujours, et je m'émerveille régulièrement.

Voici 2 de mes Tinnies brunes, elles me font craquer avec leur petite bouille unique!

Toutes les poupées visibles sur ces photos ont été restaurées et ensuite acquises par des collectionneurs, mais j'en ai d'autres... ;-)

p1090226.jpg

Et d'autres...
p1090375.jpgBlonde 1ère version à couettes

Restaurer les jouets d’antan, c'est conserver son âme d'enfant

Betty

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